musique

dimanche 6 octobre 2024

C’est du jazz latino 29

Les morceaux que nous allons écouter dans cet épisode de notre podcast ont tous en commun leur relation avec la musique populaire, comprenons populaire telle que générée par les gens, en l’occurrence la musique folklorique rurale ou urbaine, ou comprenons populaire comme généré par la culture de la société de masse, tout comme l’école de Francfort a caractérisé la culture de la société occidentale depuis le XIX e siècle.

par Pedro Alzuru

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lundi 29 juillet 2024

C’est du jazz latino 28 (Pérou)

En matière d’art, de musique et de jazz latino, un certain nominalisme est inévitable et nous dirions même souhaitable. Nous parlons de phénomènes culturels, de mélanges, de frontières poreuses, d’instances et de processus de légitimation, d’artification, d’expansion. Où finit le jazz et où commence le jazz latino ? Où finit la musique latine et où commence le jazz latino ? Ce ne sont pas des questions, à notre avis, qui soutiennent des réponses essentialistes. Ces réponses et réactions émergent, elles tentent de s’imposer, mais l’activité artistique les laisse derrière elle et ce que nous appelons l’art et la culture continue son cours indépendamment des politiques, des idéologies.

par Pedro Alzuru

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lundi 29 juillet 2024

Quand les portes claquent

Dans ces « carnets sonores II » surgissent des oscillations et ondes de mémoire selon des avatars et des versions laissées parfois en plan pour que le jeu de courant d’air reste magistral dans un registre du fermé-ouvert. À l’intérieur comme devant l’océan et sa tempête.

par Jean-Paul Gavard-Perret

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lundi 1er juillet 2024

C’est du jazz latino 27

Dans l’épisode précédent, consacré aux Antilles françaises des Caraïbes, nous avions mis en avant le rôle qu’a joué la métropole parisienne dans le développement et la diffusion de la musique antillaise, notamment de la biguine. Depuis le début du XX e siècle, après l’éruption du volcan Montagne Pelée qui a détruit la ville de Saint-Pierre, ancienne capitale de l’île de la Martinique, une importante communauté d’Antillais s’est installée dans la métropole.

par Pedro Alzuru

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dimanche 2 juin 2024

Le chaos et la sphère du temps

Le chaos ce n’est pas le désordre qui, lui, renvoie exclusivement à l’entropie maximale, c’est- à-dire à l’équilibre thermodynamique absolu. Le désordre est un épais nuage de mouches qui s’acharnent sur une charogne. Le chaos, lui, peut être un tout petit papillon qui, par-delà les mers et les océans, survole le Monde et le bouleverse, alors que lui, le papillon, grossit démesurément au fil de son voyage.

par Denis Schmite

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samedi 1er juin 2024

C’est du jazz Latino 26

Un facteur essentiel pour établir le caractère latino du jazz à l’époque contemporaine est de considérer dans sa formation, sous des formes multiples, mais en gardant toujours un socle commun, toute la Caraïbe, toute l’Amérique latine, et pour cela les îles francophones, anglophones, néerlandophones. Nous ne devons pas nous limiter à la seule contribution des Caraïbes hispaniques, même si cette composante a été fondamentale dans la décennie décisive des années ‘40.

par Pedro Alzuru

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mardi 30 avril 2024

Auteurs fantômes

Le monde des médias est submergé de fantômes. Là où l’image-transmission crée un reflet, les fantômes apparaissent à l’écran. D’un point de vue technique, on parle aussi de fantômes pour désigner un signal secondaire qui précède ou suit un signal primaire au cours d’une transmission.

par Chus Martínez

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mardi 30 avril 2024

C’est du jazz latino #25 (España)

Pendant longtemps, le jazz a été très peu présent en Espagne, mais au cours des dernières décennies se répète ce qui s’était déjà produit dans de nombreux pays d’Amérique latine, des Caraïbes et d’Europe : ses musiciens ont su trouver et développer des fusions entre les différents rythmes et genres de la musique nationale et le jazz.

par Pedro Alzuru

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lundi 1er avril 2024

Carnet de notes

Luc Ferrari, au-delà des maîtres et des écoles, à côté des institutions et pouvoirs, porte une voix musicale singulière, mâtinée d’humanité, de corporalité, sa gaieté et sa joie allant de pair avec une conscience de l’abstraction toujours tenue aux fils brouillons de la vie, aux hasards des irruptions sonores.
Brunhild Ferrari nous parle aussi de son dernier disque et de son travail de compositrice.

par Brunhild Ferrari , Martial Verdier et Virginie Rochetti

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lundi 1er avril 2024

Denis Dufour, artisan créateur

Revendiquant une totale liberté, j’ai toujours composé pour mes contemporains, non pour le milieu professionnel, et n’ai cherché ni à prouver ni à montrer mon savoir-faire, préférant utiliser la « langue » de la musique pour « dire », comme nous le faisons avec les mots. Ce ne sont pas les sons qui m’importent mais ce qu’ils véhiculent, ce qu’ils expriment par le truchement de leurs assemblages — une syntaxe en quelque sorte — et leur mise en contexte, les développements de ma musique suivant l’évolution de ma propre vie, de mes découvertes, de mes rencontres, de mes expériences.

par Denis Dufour

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