peinture

dimanche 6 octobre 2024

Collier de perles 2024

Dans un monde qui nous demande sans cesse d’être parfaits, ce collier de perles est mon mantra, ma prière. Chaque perle représente un moment de calme, un refuge dans les moments difficiles, un rappel pour ne pas me juger trop sévèrement, un abri contre les jugements des autres.

par Veronica Barbato

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lundi 1er juillet 2024

De Skagen à Gdansk

La Baltique est la plus jeune mer de la planète, mais aussi la plus polluée par les essais d’armes nucléaires, les rejets de l’industrie et de l’agriculture de l’ancien bloc de l’est et les armes chimiques coulées par le fond lors de la Seconde Guerre mondiale. Mer fermée, entrecoupée de grands ports et s’étendant sur neuf pays, elle constitue pourtant une importante zone touristique estivale.

par Irène Jonas

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samedi 29 juin 2024

Suzanne Kasser : surfaces et abîmes

Porté à ses limites, l’acrylique sur toile propose chez Suzanne Kasser des séries de vagues et de traces insidieuses faites de silence et d’absence. D’un côté l’artiste suisse appelle à perpétuer l’inscription d’un signe humain qui l’obsède, mais de toiles en toiles, de dessins en dessins, l’élucidation tourne à un presque effacement en d’étranges transferts.

par Jean-Paul Gavard-Perret

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samedi 29 juin 2024

Gustave Moreau : du sentiment de la peinture

Comme le prouvent ses textes, Gustave Moreau a toujours su outrepasser le bien pensé « Assez de toutes ces réflexions critiques, de ces blâmes, de cette sincérité théorique chez tous ces imbéciles dont l’intelligence en Art, comme en tout du reste, ne dépasse pas celle d’un concierge ou d’un charcutier », écrivait-il. C’est un peu dur pour les concierges et les charcutiers mais cela possède le mérite de la clarté. Même dans ses travaux décoratifs et monumentaux, l’artiste a toujours tenté de mettre en scène des aspirations poétiques et douloureuses.

par Jean-Paul Gavard-Perret

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samedi 1er juin 2024

Les dialogues impromptus

L’art fut pour Bernard Noël une source inépuisable dans sa réflexion et son écriture. À ce titre, l’œuvre d’André Masson lui est capitale. L’ouvrage « Là, il y aura oracle : Pour André Masson » présente une monographie, un récit-monologue à partir des autoportraits ainsi que de nombreux autres écrits.

par Jean-Paul Gavard-Perret

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mardi 30 avril 2024

Wolfgang Laib, un héritier spirituel

L’hypothèse d’un temps cyclique, et le retour inattendu des couleurs formées, orientaient mes pensées vers un artiste chez lequel l’influence de belles « avant-gardes » européennes, le néoplasticisme et le suprématisme, étaient encore perceptibles, bien que lui-même fut totalement imprégné par les philosophies et les religions de l’Orient en son entier, pensées et préceptes qui sous-tendront tout son travail : Wolfgang Laib.

par Denis Schmite

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mardi 30 avril 2024

Un barbare au paradis

Un monstre verbal, créateur d’une entreprise poétique exceptionnelle, Julius Balthazar est surtout connu au départ par ses talents de peintre, de graveur et d’illustrateur, notamment marqué par Georges Mathieu, Zao Wou-Ki, Antoni Tàpies, Frédéric Benrath ou Jorge Camacho.

par Jean-Paul Gavard-Perret

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mardi 30 avril 2024

Pour bien peindre, il faut avoir de bonnes chaussures

La peinture commence toujours par les pieds — un espace de dandinement, une danse sur place. C’est là que ça se passe pour Arno Stern : le pas, le pas au-delà et dedans, devant la toile, ailleurs peut-être. Le pas qui se dérobe pour que la peinture dévoile, mette nu.

par Jean-Paul Gavard-Perret

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samedi 2 mars 2024

Un petit coup de blanc

Tout le monde s’accorde à reconnaître chez Robert Ryman un artiste minimaliste qui réalise des peintures monochromes. Eh bien, disons-le carrément, tout le monde se trompe ! Ryman n’est pas un artiste minimaliste et ses peintures n’ont absolument rien à voir avec des monochromes !

par Denis Schmite

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samedi 2 mars 2024

Andelu : quand la peinture sort du mur

Traces, passages, pans font l’essence de la peinture de Mireille Andelu, artiste graveuse française. L’attention de la créatrice est multiple. Elle tient non seulement de la description de lieux et de la contemplation mais de l’exploration sourde de la « bête ». D’un côté une nature étrange issue d’une fixation première — Il faut ainsi faire chauffer la nature des adeptes des roulés-boulés — de l’autre, et surtout, l’érotique.

par Jean-Paul Gavard-Perret

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