Virginie Rochetti nous présente le lancement de Performance Sources, la base de données sur la performance en ligne, au Générateur de Gentilly mené à l’initiative de la chorégraphe Anne Dreyfus qui le dirige. Trois journées de rencontres, tables rondes, « Fol conférences » et performances auront lieu les 27-28-29 janvier 2023.

Dessin et peinture
Nous publions la deuxième partie de la conférence d’Ismael Mundaray : De l’Orénoque à la Seine, avec les deux interventions sur son travail, par Alexandre Alaric et Jean-Louis Poitevin. Le film d’Hervé Bernard est accompagné d’une méditation sur le travail de l’artiste.

Le mélange viscéral et chaotique entre le dessin et la peinture, au service d’une recherche psycho-artistique tel est le projet de Vincente Ocho dont nous présentons aujourd’hui le travail.

Ces deux premiers dessins de Manon Gignoux, l’un évoquant un collant avec fenouil, l’autre une jupe avec blette, appartiennent à la série Corps, ombres, légumes, réalisée au retour d’un séjour d’études, au Japon, sont présentés par Geneviève Besse-Houdent.

Les dessins de Robinson Haas sont tous composés en lignes droites tracées de manière répétitive sur le papier. Il utilise pour cela le stylo bille, le graphite, le feutre ou encore le crayon de couleurs. Hannibal Volkoff analyse ce travail présenté à la galerie Hors-Champs

Avec Hymne au lombric, Claire Carroué évoque, à travers ses encres sur papier, la multitude grouillante de ces êtres qui font la terre vivante.

Vidéo
Pour son Lost in the supermarket #34, Aldo Caredda s’est rendu à La maison de l’Amérique Latine, il y a déposé une de ses empreintes, sous l’œil attentif de Jean-Louis Poitevin.

Avec sa nouvelle vidéo Une petite trace, Patrick Dekeyser poursuit son décryptage de nos blessures engendrées peut-être par les limites de la langue et l’obstination des êtres humains à rêver l’impossible. Un texte de Jean-Louis Poitevin l’accompagne.

Réflexions
Les éditions du Seuil ont publié en début d’année 2022 un livre sans nom d’auteur titré Manifeste conspirationniste. Guillaume Basquin analyse pour nous ce livre qui décrypte cette situation que nous connaissons tous puisque nous y vivons et dans laquelle « pour que la mystification soit reine, il faut que l’aveuglement soit roi. »

Musique
Pedro Alzuru poursuit son investigation du Jazz Latino en évoquant les Portoricains, tant ceux qui vivent sur l’île que ceux qui vivent aux États-Unis, à travers un échantillon des multiples versions d’une de ses chansons emblématiques, le célèbre Lamento borincano du compositeur Rafael Hernandez Marin.

Photographies
L’histoire commence là. Il y a cette femme qui décide de tourner le dos à la société. Elle quitte le monde urbain et tous ses codes pour s’enfoncer dans la nature. C’est à nous d’écrire cette histoire comme nous y invite Mélanie Dornier l’autrice de ces images.

Nous poursuivons la présentation du travail photographique que Jonathan Abbou réalise sur L’enfer de Dante.

Gaëtan Viaris continue son exploration des formes du cinéma à travers une vision meta-photographique en s’attardant sur le film de Teinosuke Kinugasa Une page folle de 1927 sur un scénario de Yasurani Kawabata.

En collaboration avec Corridor Elephant, nous présentons le travail de Yann Doumeix pour qui la photographie, est, comme toute pratique artistique, un dévoilement, une nécessité, une prise de risque.

Les paysages naturels sont les formes de la Terre pour Aurore Bagarry qui expose à la galerie Art et Essai de l’université de Rennes 2, sous le commissariat de Philippe Boulvais.

Christian Wachter, théoricien de l’art et photographe, a pour sujet premier de son travail le langage de la photographie lui-même. Jean-Paul Gavard-Perret évoque son exposition Kinzept versus Fotografe, à Fotohof, à Salzburg qui a eu lieu en octobre dernier.

Nous publions aujourd’hui la traduction en anglais de Le deuil de l’aletheia sous le titre Aletheia’s mourning, texte que Boujemaa Achefri, traduit par Mohammed Ghazal consacre au travail de Ibn El Farouk.

Photo de couverture : Jonathan Abbou

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