lundi 24 mars 2014

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LES PETITES Tables,

Nappe 1,

, Hervé Rabot

La Lumière du Milieu. Hervé Rabot, 25 janvier 2014

au premier anniversaire d’un coup au cœur en l’heure tôt déjà irradié à sa récréation ultime annoncée au torticolis d’un cou[p] de rabot où trois petits copeaux d’anniversaire pour être vrai amen le neuf octobre deux mille douze écrit à l’économie mentale énoncée plus pire de ses niches artistiques puisque pas le six mars deux mille treize donc même en douze brûlée je ne vivrai pas mieux l’expérience d’un tendu cou[p] plus tranché là car sang issu à la guillotine hissée à l’imparfait de ce qui s’écoule pourrait sur ce côté courroucée t’éveiller même les yeux grands fermés pire vigiler béants graves ceux d’un épris de toi au désir traversé tout d’une justice expéditive au dagobert d’une rencontre inspirée à pas l’attendue divine marie mais pâquerette générique pour moi connu de fleur quoique de droiture ardoisée je renonce à l’entre mise téméraire de toutes précautions servies à cette petite table première de mots nappés d’un glacis d’ostensions spatulées à nouveau que même papelarde un monde tout récent d’énoncer feuilleté la pénitence de financement public l’exhibition tartinée au funambule annoncé à la voie lumineuse d’une conversation sans fil turlupinée d’une mise à mort cousue rouge aux napperons des images photographiques serties pas somnambules pas peur pour autant à voir dans les jamais vraies ça été en emporte seulement ensoleillé l’ostensoir agité au vent d’arrêt de soi encensé les liens tissés de l’enracinement à l’élévation rêvée de la disparition à la régénérescence de l’impression à l’apparition de l’exposition à la révélation avec elles grenouillées aux mares des images m’a tuer craquettent elles possible mi la sol ragent ces entre-deux pointent aux oasis de nos réels le cochonnet vert de pitreries tristes les dissolvent aux féesgures d’une relation artistique les tranchent au miroir coupant entier à elles-mêmes l’hôte imageur un peu fondu les moulent brûlant au beurre blanc de sa jeunesse bordée de l’erdre brochée eaux désirs emportés à l’ordre de pièces imagées maintenant elles à la régression de mon être qui aveugle ou pas leurs ombres dentelées hiératiques au tissage de lui loin d’une scène de catéchisme se croit sacré l’allergique aux santons pas convenu rabot en son nom perché sur la branche qui cède disperse l’incompris croassent chaud les copeaux se dépinglent en cette journée particulière libérées les images argentées des guirlandes à mon plafond scruté tant secret se papillonnent au filet d’une œuvre consentie à l’huile de l’origine espère le communiant les images giclées aux pages translucides de son missel ouvertes tendue à toi en la clarté blanche tout à l’écartèlement prié soyeux je dis à l’absolu clownesque tu dis grotesque contourée à la craie la peur déjouée au tapis noir de mon je te mise à la table de mon regard au point pas contremurée comme le suggère le saint correcteur qu’au ciel ce que je voulais c’est être heureux soit mon dernier écrit d’image en un horizon bariolé frappé à l’écume de mon être entre ciel terre et mère au retable aux quatre pieds de mon monde reliques rabotées à l’enclume d’une célébration païenne poinçonnées les pièces rapportées solitaires les arbres aux socles rudes de la creuse griffés amélie transparente aux yeux d’énergie mince vie zoé communiante à la rituelle nue d’une clairière pendue tronçonnée marjorie danse forte s’annonce en toi close aux trois voix annoncées haut une clarté inquiète muette plane s’ombre béante à son heure la lumière du milieu sauce délurée à mon côté voisine blanche de vin là tachée de sagesse normande juste ruminée rouge banquette mijotée le chant vert cérébral des ostensions poitevines jean-louis au fin missel salé
les
rousses
limousines
à
mes
yeux
pendues
rient